Warning - 1982 - II
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Re: Warning - 1982 - II
Après un excellent 1er album ("Warning"), voici que débarque cette bombe.
Production énorme: prises d'enregistrement digitales (c'est le nec plus ultra à cette époque où le CD n'est pas encore disponible),
Dieter Dierks (Scorpions, Accept) aux manettes dans ses propres studio à Cologne pour un son de qualité internationale.
Pochette éclatante (vinyl vendu avec ses lunettes 3D pour voir l'aigle métallique de façon spectaculaire sur son fond rouge vif,
eh oui déjà en 1982 on avait la 3D...).
La musique est énergique à souhait, les guitares très en avant sont agressives, mélodiques
(nous sommes à l'époque du "Blackout" des Scorpions, avec le même producteur ne l'oublions pas).
Les solis sont de très bon niveau, les regrettés Christophe Aubert (Lead) et Didier Bernoussi (rythmique) sont talentueux.
Le chant de Raphael Garrido, assez aigüe, colle cependant parfaitement à l'agressivité de la musique:
écoutez le sur "Commando", "Fire,fire", "speed moi" ou "sexy lubie", il sait être plus modulé sur les très sympas "Bahamas mémorial"
ou "Strange way of love (sixty-nine).
Les paroles sont moins engagées que chez nos amis de Trust, mais ce n'est surement pas un défaut.
Il n'y a rien à jeter sur cet album, c'est une belle page d'histoire du hard français.
L'histoire étant cruelle, ce potentiel fut malheureusement éphémère (comme trop souvent dans le hard estampillé bleu, blanc, rouge).
Production énorme: prises d'enregistrement digitales (c'est le nec plus ultra à cette époque où le CD n'est pas encore disponible),
Dieter Dierks (Scorpions, Accept) aux manettes dans ses propres studio à Cologne pour un son de qualité internationale.
Pochette éclatante (vinyl vendu avec ses lunettes 3D pour voir l'aigle métallique de façon spectaculaire sur son fond rouge vif,
eh oui déjà en 1982 on avait la 3D...).
La musique est énergique à souhait, les guitares très en avant sont agressives, mélodiques
(nous sommes à l'époque du "Blackout" des Scorpions, avec le même producteur ne l'oublions pas).
Les solis sont de très bon niveau, les regrettés Christophe Aubert (Lead) et Didier Bernoussi (rythmique) sont talentueux.
Le chant de Raphael Garrido, assez aigüe, colle cependant parfaitement à l'agressivité de la musique:
écoutez le sur "Commando", "Fire,fire", "speed moi" ou "sexy lubie", il sait être plus modulé sur les très sympas "Bahamas mémorial"
ou "Strange way of love (sixty-nine).
Les paroles sont moins engagées que chez nos amis de Trust, mais ce n'est surement pas un défaut.
Il n'y a rien à jeter sur cet album, c'est une belle page d'histoire du hard français.
L'histoire étant cruelle, ce potentiel fut malheureusement éphémère (comme trop souvent dans le hard estampillé bleu, blanc, rouge).
Last edited by The ripper on Thu 24 Oct - 13:53; edited 2 times in total
Re: Warning - 1982 - II
35 ans après sa publication, il faut l'entendre pour le croire : cet album est une tuerie, c'est chanté en français,
les musiciens sont tous au-dessus de la moyenne, les titres sont d'une qualité ahurissante dans la composition
et les arrangements, c'est produit par un vrai producteur :
Dieter Dierks. le son est géant, comparable au "screaming for vengeance" de Judas Priest.
Je pense que personne, ni le groupe, ni son management, ni hélas Polydor sa maison de disque de l'époque,
ne se rendait compte de la qualité de Warning et de son potentiel et commercial et artistique qui le plaçait dans la catégorie
Scorpions/Accept.
Un groupe massacré par une bande d'incapables et de losers, à mon humble avis le groupe français qui avait le potentiel
de succès international maximal, fallait juste que Rapha le chanteur prenne des cours d'anglais intensifs !
Il n'y aura jamais de reformation de Warning car le guitariste Christophe Aubert est décédé, sans lui cela n'aurait aucun sens,
alors écoutez cet album en réalisant que la France est passé à coté d'un géant,
une bombe thermonucléaire qui hélas n'a jamais explosé.
les musiciens sont tous au-dessus de la moyenne, les titres sont d'une qualité ahurissante dans la composition
et les arrangements, c'est produit par un vrai producteur :
Dieter Dierks. le son est géant, comparable au "screaming for vengeance" de Judas Priest.
Je pense que personne, ni le groupe, ni son management, ni hélas Polydor sa maison de disque de l'époque,
ne se rendait compte de la qualité de Warning et de son potentiel et commercial et artistique qui le plaçait dans la catégorie
Scorpions/Accept.
Un groupe massacré par une bande d'incapables et de losers, à mon humble avis le groupe français qui avait le potentiel
de succès international maximal, fallait juste que Rapha le chanteur prenne des cours d'anglais intensifs !
Il n'y aura jamais de reformation de Warning car le guitariste Christophe Aubert est décédé, sans lui cela n'aurait aucun sens,
alors écoutez cet album en réalisant que la France est passé à coté d'un géant,
une bombe thermonucléaire qui hélas n'a jamais explosé.
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